Et si on arrêtait de croire que les autres y arrivent mieux que nous ?

Il m’arrive souvent, dans les accompagnements parentaux, d’avoir en face de moi des mamans aux yeux cernés, le cœur serré et la voix tremblante. Elles viennent chercher des réponses pour leurs enfants, souvent diagnostiqués ou en cours de diagnostic TSA, TDAH, ou présentant des troubles d’apprentissage. Mais derrière leurs questions, il y a autre chose. Quelque chose de plus profond, de plus enfoui.

Un jour, une maman me dit :
"Je suis fatiguée d’essayer d’être parfaite, alors que j’ai l’impression d’échouer chaque jour."

Et là, c’est mon cœur de femme, de maman, et de professionnelle qui se serre.

Je suis comme elles.

J’ai 7 enfants. Mon quotidien est une course contre la montre, une équation sans fin entre l’école à la maison, mon travail de psychopédagogue, mes projets professionnels, et… la vie.

J’ai aussi des enfants porteurs de troubles (TSA, TDAH et multi dys). Alors quand une maman me parle de ses soirées interminables à relire les devoirs, de ses doutes face à un enfant qui "n’écoute pas", de son désespoir devant une crise incontrôlable, je comprends. Vraiment.

Pas parce que je l’ai lu dans un livre. Mais parce que je le vis aussi.

Ce que les mamans me disent...

Dans mes accompagnements, les demandes sont souvent les mêmes :

• "Comment l’aider à se concentrer ?"

• "Je ne sais plus comment gérer ses colères."

• "Je me sens seule face à tout ça."

• "J’ai l’impression d’être une mauvaise mère."

Elles viennent chercher des outils, oui. Mais aussi une oreille qui comprend, un espace sans jugement, et parfois, un simple souffle d’air dans un quotidien trop lourd.

Ce que je leur réponds

Je leur parle de régulation émotionnelle, d’outils concrets, de stratégies éducatives. Mais je leur parle aussi de compassion pour soi-même, de légèreté dans l’imperfection, de petits pas qui comptent.

Et souvent, elles pleurent. Pas parce qu’elles sont tristes. Mais parce que pour la première fois depuis longtemps, elles ne se sentent plus seules.

C’est pour elles que j’ai créé Objectif Progrès

Un accompagnement de 12 semaines. En groupe. Parce que l’énergie d’un groupe, c’est puissant. Parce qu’entendre d’autres mamans dire “Moi aussi je vis ça”, ça change tout.

Chaque semaine, on se retrouve en visio, on échange, on avance, on partage des outils. Et entre les séances, on reste connectées par WhatsApp. C’est un espace d’écoute, d’entraide, de reconstruction.

Ce n’est pas une baguette magique. Mais c’est un point d’ancrage pour sortir du chaos. Et surtout, c’est une invitation à faire équipe, à ne plus porter seule.

Tu n’as pas besoin d’être parfaite. Juste d’être accompagnée.

Si tu te reconnais dans ces lignes, si tu as envie d’avancer autrement, de respirer un peu, de retrouver confiance en toi et dans ton rôle de maman, alors Objectif Progrès est fait pour toi (prochaine session septembre 2025)